Publié le 17/05/2021

La parution du dernier tableau de déclinaison des activités sportives mis en ligne par le Ministère chargé des sports, indique en effet que la pratique du football en club reprend avec contacts pour les mineurs dès le 19 mai, en extérieur et en salle. Des protocoles de reprise seront prochainement établis par la FFF. Les clubs pourront donc organiser à partir du 19 mai matchs et tournois avec participation exclusive de mineurs (sans limitation de nombre) et dans le respect des protocoles sanitaires en vigueur:

• port du masque en dehors du terrain
• distanciation de 1 mètre du public
• gel hydroalcoolique à disposition
• respect du couvre-feu 21h

Les mineurs auront accès aux vestiaires, puisqu’ils font partie pour la première fois  des  » publics prioritaires » dans le nouveau tableau. 

Les adultes devront patienter jusqu’au 9 juin pour retrouver une activité normale en extérieur avec contacts et la possibilité de participer à des oppositions ou des matchs amicaux. D’ici là une pratique sans contact lors des entraînements est toujours nécessaire.

A partir du 30 juin la pratique en salle avec contacts (matchs, tournois) sera autorisée.

Dans tous les cas de figure , les vestiaires restent fermés pour les adultes jusqu’au 30 juin.

La présence de spectateurs est autorisée en extérieur et en salle avec une limitation à 35%(!) de la capacité du stade jusqu’au 9 juin et à 65%(!) jusqu’au 30 juin…uniquement assis.

Pour la restauration et les buvettes les clubs sont soumis au protocole sanitaire HCR (Hôtel, Café, Restaurant) et devront donc appliquer la règlementation en vigueur au 19 mai:

• organisation du flux du public afin de limiter les croisements
• port du masque pour les personnes servant à la buvette
• consommation debout interdite à la buvette (une fois servis, les personnes devront s’écarter du comptoir)
• pas plus de 6 personnes à une table
• 1 mètre minimum entre chaque table
• pas de restauration en salle jusqu’au 9 juin

L’application de l’ensemble de ces mesures reste soumise à l’appréciation de l’autorité préfectorale en fonction de l’évolution de  la condition sanitaire du département et à l’autorité municipale pour la mise à disposition des installations.